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(1)    William A. - Earthbound Essays in Environmental Ethics – Random House - 1984. « Une mortalité humaine massive serait une bonne chose. Il est de notre devoir de la provoquer. C’est le devoir de notre espèce, vis-à-vis de notre milieu, d’éliminer 90% de nos effectifs.
(2)    FR3 informations du 29 janvier 2021 – 19h30 : « Dans le cas d’une réanimation d’un malade atteint du covid, je donnerai la priorité à un patient de 60 ans sur un patient de 80 ans. »
(3)    Article du 18 mai 2015 sur Foundingfuel.com : « Pourquoi clonerait-on des cochons brillant dans l’obscurité ? commente Y.Z. directeur associé du Comité de Planification stratégique de XX
X. Nous l’avons fait pour la science…Nous l’avons fait pour le plaisir. »

Je suis tombé sur ces trois informations qui ne pouvaient me laisser indifférent. Je tenais, avec ces déclarations le fil d’une histoire que je n’aurais voulu lâcher pour rien au monde. J’ai donc rédigé ce roman que j’avais pensé au début intituler « Histoire du vieux qui parlait aux arbres », un titre qui m’a paru s’inspirer d’un modèle un peu trop  rabâché. « De sève et de rêves », apparaîtra peut-être abscons au lecteur, c’est cependant un titre qui trouve une explication que je laisse à chacun le soin de découvrir. Mes personnages, comme l’époque et le lieu sont fictifs. Ils sont plongés dans une réalité qui pourrait être la nôtre. Le lecteur fera la part des choses, je lui fais confiance.

 

De sève et de rêves, version numérique, 3 €

                                  version brochée,     6,5 €

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